Pourquoi suis-je allée au niveaux 2&3 d’Access Consciousness de Stockholm en juin 2015 ?
D’abord, parce que j’avais déjà fait une classe fondation et niveau 1 (merci Annick Buiron et Francesco Marcuccio !
) et suivi une deuxième de Gary via internet. Ensuite, parce que certaines classes que je souhaiterais faire requièrent d’avoir suivi le 2/3. Ça, c’est pour les réponses « rationnelles »…
Une autre réponse serait: pour vivre dans la question, les choix, les possibilités et la contribution que je peux être et que l’univers peut être pour moi et ma vie, pour apprendre à savoir, être, percevoir et recevoir, pour arrêter de me juger, de refuser mes capacités, et donc pouvoir enfin créer la vie dont je rêve ! Vaste programme !
J’y suis allée, parce que ça faisait longtemps que j’en avais envie, parce qu’après un divorce et l’achat d’une nouvelle maison, avec un emploi que je ne vais pas tarder à quitter… j’ai besoin de nouveaux outils pour me créer une nouvelle vie plus à mon goût.
Bon, et concrètement, une classe 2 et 3, ça donne quoi ? Eh bien tout d’abord, un grand groupe ! 200 personnes environ, dans une salle de réception, avec deux belles rangées de table de massages pour faire des séances de Bars et autres processus corporels. Une grande équipe pour coordonner tout ça : les paiements et inscriptions, les traductions, le son, les snacks… impressionnant.
Nous avons passé la première journée à rire sans arrêt, à nous rencontrer aussi : près de 200 personnes de 27 nationalités, ça donne envie de connaître du monde ! Et parmi toutes ces personnes, l’impression de rencontrer des gens « comme moi », qui ne rentrent pas dans la norme, qui pensent différemment, qui ont envie de changer, de se trouver et s’écouter et de changer les choses. Et ces rencontres me donnent l’inspiration et la motivation pour créer ma propre vie, différente de celle que j’avais jusque maintenant, de celle dans laquelle on me définit. On a beaucoup parlé de s’engager à notre vie : suivre l’énergie de ce qui est léger pour nous, de ce qui va créer le plus pour notre futur, même si ce n’est pas connu, pas confortable, qu’on ne sait pas vraiment où on va… On a des outils pour y aller quand même, sans peur (à qui est-ce qu’elle appartient?), sans doutes (implant distracteur)…
J’ai terminé mon séjour plus motivée que jamais, prête pour de nouvelles aventures, prête aussi à partager ces possibilités avec plus de monde. J’espère donc vous retrouver nombreux bientôt dans mes classes et les autres !
Eryl Dausse, BF






